Cécile Nguyen

Quelle thérapie brève pour moi ?

Vous voyez ci-dessous 3 types de situations que vous pouvez rencontrer. Parfois, vous retrouvez des situations dans 1, 2 voire 3 colonnes. Ensuite, prenez le temps de me contacter, car, vous l’avez compris, chaque être humain est unique et chacune de mes consultations est personnalisée et adaptée à votre besoin spécifiques, et j’appliquerai ainsi la thérapie qui vous convient.

Difficultés psychologiques et émotionnelles

  1. Difficultés à prendre des décisions
  2. Déprime, dépression, burn-out
  3. Gérer ses émotions
  4. Avoir une bonne estime de soi
  5. Manque de motivation

Troubles du comportement physique et psychique

  1. Vous remettez ce que vous avez à faire au lendemain
  2. Manque de concentration
  3. Les troubles anxieux, les phobies, le trouble panique
  4. L’énurésie ou pipi au lit
  5. Problèmes de poids avec le tabac, l’alcool
  6. Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDAH)
  7. Troubles du sommeil

Adaptation au changement

  1. Difficultés face à un changement de cap professionnel, à un licenciement, une séparation ou un deuil
  2. Trac aux examens scolaires ou aux entretiens d’embauche

Difficultés psychologiques et émotionnelles

1- Difficultés à prendre des décisions :

Vous pouvez hésiter devant un plat à choisir dans un menu ou hésiter quant à la tenue à mettre. Ces moments d’indécision nous concernent tous. En revanche, lorsque prendre une décision vous paralyse, on parle alors de la peur de prendre des décisions ou de décidophobie.

En finir avec l’indécision

La source de l’indécision vient généralement de vos peurs. Vous pouvez avoir la peur de l’échec et la peur de faire le mauvais choix face à un grand nombre de possibilités. Cela engendre la peur de déplaire, la peur du conflit et de s’imposer face aux autres. La peur de prendre une décision résulte aussi du fait que vous avez l’impression de ne pas toujours avoir tous les éléments en mains.

Pour surmonter l’indécision, la Thérapie Brève va vous permettre d’apprendre à bien connaître vos goûts, vos besoins, vos connaissances, vos compétences et vos priorités. Cela vous permettra de savoir exactement ce que vous voulez et ce que vous ne voulez pas. Vous serez plus à même de faire des choix par vous-même.

2- Déprime, dépression et burnout :

Prévenir & Guérir de la dépression :

La source de l’indécision vient généralement de vos peurs. Vous pouvez avoir la peur de l’échec et la peur de faire le mauvais choix face à un grand nombre de possibilités. Cela engendre la peur de déplaire, la peur du conflit et de s’imposer face aux autres. La peur de prendre une décision résulte aussi du fait que vous avez l’impression de ne pas toujours avoir tous les éléments en mains.

Pour surmonter l’indécision, la Thérapie Brève va vous permettre d’apprendre à bien connaître vos goûts, vos besoins, vos connaissances, vos compétences et vos priorités. Cela vous permettra de savoir exactement ce que vous voulez et ce que vous ne voulez pas. Vous serez plus à même de faire des choix par vous-même.

Les troubles de la pensée :

  • Vous avez une baisse de l’estime de soi
  • Vous avez une anxiété excessive
  • Vous avez des difficultés de concentration ou des pertes de mémoire
  • Vous avez du mal à prendre des décisions
  • Vous avez des pensées suicidaires

Les manifestions physiques :

  • Vous ressentez une grande fatigue,
  • Vous n’avez plus d’énergie pour rien
  • Vous avez une sensation de lourdeur, de léthargie
  • Votre sommeil est perturbé
  • Vous avez une perte ou un excès d’appétit
  • Vous avez mal au dos, des maux de tête ou des douleurs diffuses
  • Vous avez une diminution du désir sexuel

On parle de dépression lorsque vous réunissez plusieurs de ces symptômes pendant une période d’au minimum deux semaines. La dépression est une maladie, et non le reflet d’une faiblesse de caractère. Elle est parfois difficile à déceler et dans le doute, il vaut mieux consulter. Elle peut durer quelques semaines, souvent plusieurs mois, parfois plusieurs années. Selon les cas, l’intervention en thérapies brèves se fera en complément d’un suivi médical.

La thérapie va vous permettre de modifier les pensées et les comportements qui peuvent déclencher ou perpétuer les épisodes dépressifs.

3- Gérer ses émotions :

Les émotions comme la joie, la honte, la colère, la jalousie, la tristesse, la peur, etc. sont des réactions physiques et physiologiques qui font parties de notre vie de tous les jours.

Des séances utiles autant pour les parents que pour les enfants :
Suivant le tempérament de chacun, les émotions peuvent être vécues avec une telle intensité, qu’elles finissent par vous submerger, au risque parfois de vous retrouver dans des situations inconfortables ou au contraire, de préférer vous couper de vos émotions afin de ne rien laisser paraître. Il est vrai que personne ne nous a appris à prendre soin nos émotions !

Que vous soyez hypersensible ou non, il est important d’avoir une bonne gestion émotionnelle. Apprendre à reconnaître les émotions demande un travail sur soi qui commence toujours par une période d’observation. Il faut aller à la source du problème en prenant conscience de ses réactions, qu’elles soient physiques ou psychologiques. Un exercice simple et à faire tous les jours consiste à vous poser ouvertement la question, face à une nouvelle émotion : « Comment je me sens ? » L’autre étape consiste à aller à la source du problème et de faire émerger les croyances qui vous conditionnent au quotidien.

L’accompagnement d’un thérapeute vous permettra de comprendre vos modes de fonctionnement, d’arrêter de ruminer vos émotions négatives et de développer de la bienveillance envers vous-même.

4- Avoir une bonne estime de soi :

L’Estime de soi repose sur 3 composantes : l’Amour de soi, l’Image de soi et la Confiance en soi :

Amour de soi :

  • Vous connaissez vos qualités et vos défauts
  • Vous vous aimez malgré vos défauts, vos limites et vos échecs
  • Vous êtes honnête envers vous-même

Image de soi :

  • Vous êtes au clair avec le regard que vous portez sur vous-même
  • Vous êtes en capacité de dompter votre esprit autocritique
  • Vous acceptez les échecs

Confiance en soi :

  • Vous êtes capable d’agir de manière appropriée dans de nouvelles situations
  • Vous savez vous affirmer
  • Vous êtes empathique

Etes-vous en équilibre sur ces 3 piliers ? La Thérapie Brève peut vous aider à renforcer ces piliers afin d’agir dans le respect de vous-même et d’autrui.

5- Manque de motivation :

Les symptômes de manque de motivation

La motivation est un facteur émotionnel ayant une influence considérable sur nos capacités d’adaptation. Il est normal parfois de n’avoir aucune motivation, mais pendant une courte période. Le manque de motivation peut être causé par différents facteurs :

  • Le manque d’entrain pour certaines activités de votre vie quotidienne
  • Ne pas avoir de passion ou d’intérêt pour un sujet précis
  • Le fait de ne pas assez dormir ou d’être trop souvent fatigué
  • L’absence de buts, de direction à suivre ou d’un sens à votre vie ne va pas vous pousser à l’action, voire ne pas vous inciter à vous lever
  • Le fait d’enchaîner les échecs peut enterrer votre motivation à tout jamais
  • Être dans une relation toxique ou rencontrer des difficultés relationnelles va consumer une grande partie de votre énergie et vous empêcher d’être disponible pour autre chose
  • L’absence d’encouragements ou de retours positifs suite à vos actions
  • Subir une pression excessive et/ou un stress trop fort
    Quand cet état se prolonge, on parle alors d’apathie. Par ailleurs, il y a plusieurs causes psychologiques qui renforcent ce manque de motivation : la dépression, le burn out, la schizophrénie, les troubles alimentaires.

Comment guérir d’un manque de motivation

Un travail thérapeutique va vous aider à prendre pleinement conscience de votre situation actuelle et à fixer de nouveaux objectifs pour vous aider à vous motiver, à sortir de la zone de confort, à retrouver un sommeil de qualité et à vous créer des moments de bonheur.

Troubles du comportement physique et psychique

1- Vous remettez ce que vous avez à faire au lendemain :

La procrastination se définit comme la tendance à remettre au lendemain certaines tâches ou des objectifs variés, comme le travail, le ménage, les études, la santé, les finances, la vie sociale, la famille, les relations interpersonnelles, le perfectionnement et la prise de décision.

Sortir de la procrastination

Il peut arriver que la procrastination soit d’ailleurs confondue avec la paresse. La procrastination trouve son origine dans une mauvaise gestion du temps, une mauvaise estime de soi, un manque de motivation. La procrastination peut également apparaître chez les personnes épuisées mentalement et physiquement. Elles ne trouvent plus la force d’agir. Le stress est aussi un énorme paralysant dans la prise de décision et le passage à l’action. Le syndrome de l’imposteur peut aussi inciter à repousser le passage à l’action. La procrastination peut également être généré par la peur de l’échec, la peur du jugement, le perfectionnisme.

Pour en finir avec la procrastination, la Thérapie Brève va vous aider à définir des tâches réalisables, à booster votre estime de soi ainsi que votre motivation.

2- Manque de concentration :

Qu’est-ce que le manque de concentration ?

La concentration est le fait de se focaliser consciemment sur une activité particulière, tout en faisant plus ou moins abstraction de tout le reste. Les causes d’un manque de concentration sont très variées et peuvent être de nature psychologiques et/ou physiques. Des facteurs environnementaux tels que le bruit, le stress, l’agitation, la chaleur ou un air de mauvaise qualité peuvent provoquer un manque de concentration. De même, la concentration est moins bonne après un repas copieux ou au lendemain d’une soirée bien agitée, car le corps est sollicité pour la digestion notamment.

Les principaux signes indiquant que vous manquez d’attention et de concentration sont les suivants :

  • Perte de mémoire : vous avez des difficultés à vous souvenir de choses qui se sont produites récemment
  • Difficulté à rester assis : dans certains cas de nervosité vous avez des difficultés à rester détendu(e) ou immobile
  • Difficulté à penser clairement : vous ne parvenez plus à raisonner facilement, à faire le tri dans vos idées ou pensées ?
  • Perte d’objets : il vous arrive de ne plus vous souvenir de l’emplacement des objets
  • Incapacité à prendre des décisions : vous avez du mal à prendre des décisions, qu’elles soient faciles ou difficiles
  • Incapacité à effectuer des tâches compliquées : vous n’arrivez pas à effectuer des tâches qui demandent un effort mental plus important
  • Manque d’énergie : vous avez une sensation de fatigue et/ou de manquer d’énergie
  • Faire des erreurs d’inattention : votre inattention engendre fréquemment des erreurs ?

Les termes « manque de concentration » et « trouble de la concentration » sont souvent utilisés de manière interchangeable ; toutefois, ils ne veulent pas dire la même chose. Un trouble de la concentration est généralement bref et temporaire. Un manque de concentration implique quant à lui une diminution de la concentration sur une période plus longue.

Si vous constatez que vos facultés de concentration s’affaiblissent progressivement et sur une longue période, même lors de tâches du quotidien, il est préférable de consulter un médecin. Il se pourrait que le manque de concentration soit causé par un trouble physique tel que la dépression, un épuisement professionnel (burn out), une hypotension artérielle, l’insomnie, le syndrome d’hyperactivité avec déficit de l’attention (ou TDAH), la démence (par exemple la maladie d’Alzheimer), une hypothyroïdie, des troubles circulatoires dans le cerveau.

Les séances de thérapies brèves vont vous permettre de mieux gérer votre stress, d’être plus focus, de mieux organiser vos pensées pour que celles-ci soient présentes aux moments opportuns.

3- Les troubles anxieux, les phobies, le trouble panique :

Les troubles anxieux

L’anxiété est une réaction naturelle face à un danger ou à un stress. Notre organisme se modifie par une accélération du rythme cardiaque, une augmentation de la transpiration, des difficultés à respirer, des troubles du sommeil, ou une mise en retrait. Ces modifications disparaissent rapidement. Lorsque ces modifications deviennent trop intenses ou envahissantes, au point de perturber le quotidien, on parle de troubles anxieux.

Les troubles anxieux constituent une maladie psychique fréquente qui s’exprime sous diverses formes (anxiété généralisée, phobies, troubles paniques…) et perturbe fortement la vie quotidienne. Leurs symptômes, très variables d’une personne à l’autre, sont de nature :

  • Psychologiques : irritabilité, impulsivité, peur irrationnelle, difficulté à se concentrer, baisse des performances intellectuelles, incapacité à faire des projets, vision négative de l’avenir…
  • Physiques : troubles digestifs, douleurs, insomnies, fatigue, maux de tête, vertiges…

L’intervention en thérapies brèves va vous aider à apaiser vos peurs et angoisses.

Les phobies

En revanche, lorsque la peur nous paralyse en l’absence de danger réel et prend des proportions démesurées, elle devient pathologique. On parle donc de phobies. Les phobies désignent la peur démesurée et souvent irrationnelle face à certains objets, situations ou phénomènes. Elles font partie des troubles anxieux.

Il est important de faire une distinction entre peurs et phobies. Elles sont toutes les deux déraisonnées et excessives. Les peurs ne sont pas phobiques si l’individu parvient à les surmonter. Lorsqu’il s’agit des phobies, la seule évocation de l’objet phobique déclenche un malaise, voire une angoisse et l’exposition peut provoquer une crise de panique.

Parmi les symptômes et manifestations de cette phobie on peut citer :

  • Un sentiment de panique
  • Des nausées
  • Des vertiges
  • La bouche sèche
  • Le souffle coupé
  • Une transpiration excessive
  • La qualité de vie est souvent affectée et la personne peut finir par s’isoler et négliger sa santé, ses finances et sa vie émotionnelle par peur de faire de mauvais choix.

Le thérapeute pourra guider la personne sujette à la phobie en construisant une stratégie adaptée. Un travail thérapeutique plus général sur l’anxiété de l’individu peut éviter que d’autres phobies ne se déclenchent ou réapparaissent.

Le trouble panique

Il s’agit d’une anxiété qui évolue par crises, caractérisée par des attaques de panique récurrentes qui associent détresse physique et psychologique. Ces attaques consistent en la survenue brutale d’une peur intense, d’un sentiment de mort ou de catastrophe imminente et de perte de contrôle de soi. Elles durent généralement une trentaine de minutes. Lors d’une crise, plusieurs symptômes apparaissent dont : des palpitations, une accélération du rythme cardiaque, une transpiration, des tremblements, une sensation d’essoufflement ou d’étouffement, une douleur thoracique, un étourdissement ou une faiblesse, des frissons ou des bouffées de chaleur, des nausées ou des douleurs abdominales. Ces symptômes sont parfois si importants qu’ils peuvent déclencher une crise cardiaque et entraîner une consultation aux urgences. Des attaques de panique peuvent être prévisibles et survenir en réponse à un événement redouté, à la prise de drogues ou à un sevrage. Elles peuvent aussi se déclencher de manière inattendue, sans raison apparente.

La thérapie brève va vous aider à reconnaître et à contrôler les pensées dysfonctionnelles, à trouver un comportement plus adapté.

4- L’Énurésie ou pipi au lit

Retrouver un lit sec

L’énurésie est un symptôme caractérisé par l’émission involontaire d’urine, le plus souvent la nuit, chez un enfant de plus de 5 ans. Jusqu’à l’âge de sept ans, tous les enfants peuvent occasionnellement connaître un petit accident de fuite urinaire, sans souffrir pour autant d’énurésie nocturne.

Il faut distinguer 2 types d’énurésie :

L’énurésie primaire : la propreté pendant la nuit n’a jamais été acquise. L’énurésie pourrait être due, par exemple, à :

  • Un mauvais fonctionnement de la vessie qui se contracte involontairement lorsqu’elle est pleine
  • Un sommeil paradoxal trop long et trop profond pendant lequel l’enfant rêve parfois qu’il va aux toilettes
  • Une malformation de la vessie

L’énurésie secondaire : l’enfant a déjà été propre pendant plus de 6 mois consécutifs. Il commence à mouiller son lit alors que la propreté était acquise. L’énurésie semble alors plutôt liée à des problèmes d’ordre émotionnel (par exemple la naissance d’un petit frère ou d’une petite sœur, ou des problèmes rencontrés à l’école maternelle).

Après vérification médicale, les thérapies brèves peuvent être efficaces très rapidement.

5- Problèmes de poids avec le tabac, l’alcool :

Reprendre le contrôle

Il peut arriver que vous fassiez des excès de nourriture, d’alcool ou de tabac sans pour autant devenir dépendant ou addict. On confond souvent dépendance et addiction, or ces deux termes définissent des comportements différents face à la prise de substances psychoactives ou face à une activité.

La dépendance est due à un déséquilibre du fonctionnement neurobiologique à la suite d’une consommation régulière d’une substance psychoactive. Ainsi, on parle de dépendance lorsqu’on souffre du syndrome de sevrage à l’arrêt brusque de la consommation d’un médicament. La dépendance touche tout le monde : si on vous prescrit de la morphine comme traitement antidouleur, au bout d’une semaine, vous deviendrez dépendant. Cependant vous ne deviendrez pas pour autant accro ensuite.

L’OMS définit l’addiction comme « un état de dépendance périodique ou chronique à des substances ou à des comportements ». L’addiction est donc une pathologie qui repose sur la consommation excessive d’un produit (tabac, alcool, drogues…) ou la pratique d’un comportement (shopping, jeux, temps sur les réseaux sociaux…) qui conduit à l’incapacité de vous empêcher de consommer la substance, bien que vous ayez connaissance des conséquences néfastes qui s’ensuivront. L’addiction se traduit par des comportements compulsifs incontrôlés et irraisonnés, une modification de l’équilibre émotionnel.

L’intervention en thérapies brèves se fait uniquement en complément d’un suivi médical et d’un traitement médicamenteux. Elle vise à identifier ensemble la nature de vos manques, déceler les sensations internes afin de vous accompagner pour trouver à l’intérieur de vous ce que vous recherchez à combler par l’extérieur.

6- Trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité

Apporter une aide complémentaire dans la vie quotidienne.

Le trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est caractérisé par l’association de trois symptômes dont l’intensité et la manifestation varient selon chaque personne :

  • Un déficit de l’attention (incapacité à maintenir son attention, à terminer une tâche, oublis fréquents…),
  • Une hyperactivité motrice (agitation incessante, incapacité à rester en place),
  • Une impulsivité (difficulté à attendre, tendance à interrompre les activités des autres).

Selon les classifications internationales, un certain nombre de critères doivent être présents pour chacune de ces 3 dimensions, depuis plus de 6 mois au moins, avant l’âge de 12 ans et dans différentes situations de vie (école, famille, loisirs), pour que le diagnostic puisse être porté.

L’intervention en thérapies brèves se fait uniquement en complément d’un suivi médical et d’un traitement médicamenteux. L’objectif ici est de travailler la confiance en soi, d’apprendre à gérer ses émotions, de trouver des solutions pour accéder au calme et à la paix intérieure.

7- Troubles du sommeil

Recréer un sommeil réparateur

L’insomnie se définit comme le sentiment d’avoir mal dormi en raison :

  • de difficultés d’endormissement
  • d’un ou de plusieurs réveils nocturnes
  • d’un réveil trop précoce le matin

Lors de troubles du sommeil, on distingue insomnie aiguë (qui dure de 1 nuit à quelques semaines) et insomnie chronique (au moins 3 nuits par semaine pendant au moins 3 mois). L’insomnie chronique peut entraîner des troubles de l’humeur, une irritabilité, des troubles de la vigilance pendant la journée, une diminution de la qualité de vie.

Avant l’intervention en thérapies brèves, il faut s’être assuré auprès du corps médical qu’il n’y ait pas de pathologie spécifique (ex : épilepsie, troubles endocriniens, apnée du sommeil etc.). L’intervention vise à apaiser l’anxiété ou le stress et à instaurer la mise en place de rituels pour favoriser l’endormissement.

Adaptation au changement

1- Difficultés face à un changement de cap professionnel, un licenciement, une séparation, un deuil :

Retrouver du sens à sa vie

Il y a des phases dans notre vie où nous ressentons le besoin de changer de cap professionnel, où nous nous devons faire face à une perte d’emploi, où nous devons nous séparer d’un proche, où nous devons faire le deuil d’une relation. Ces situations génèrent des réactions émotionnelles plus ou moins fortes. Le processus du changement comporte des phases communes à tout le monde.

  • La première constitue un état de choc empreint à la fois d’abattement et de manifestations émotionnelles aiguës. La sidération inaugure alors cette phase marquée par une absence de réaction, une attitude hébétée, figée. Puis des réactions de déni, d’incrédulité, de colère voire d’agressivité apparaissent.
  • La seconde phase correspond à un état dépressif réactionnel.
  • La troisième phase est l’acceptation que le changement est inévitable.
  • La dernière étape est l’intégration et le changement est accepté.

Le travail en thérapies brèves consiste à déterminer dans quelle phase vous êtes et de vous donner les moyens de passer à la phase suivante.

2- Trac aux examens scolaires ou aux entretiens d’embauche

Savoir se mobiliser au bon moment

Le trac est une crainte que l’on ressent avant d’affronter un public, de subir une épreuve. Un peu de trac est stimulant, trop de trac peut devenir paralysant.

Les manifestations du trac sont de 2 formes :

  • Les manifestations physiques : le rythme cardiaque s’accélère, la respiration est plus difficile, les mains deviennent moites, la gorge sèche.
  • Les manifestations cognitives : les craintes de bafouiller ou de bégayer, de paraître nerveux, d’être ennuyeux, de rougir, de trembler, de faire des erreurs.

L’intervention en thérapies brèves vise à vous permettre de vous relaxer, de vous désensibiliser de vos craintes et de ne pas fixer votre attention sur les symptômes.